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The Fracking L'esquisse

DUCLOS, Joanie. MÉNARD-LEVASSEUR, Mélissa. ROY, Julie.

              L'esquisse                            La phase urbaine                  La phase architecturale                    Le projet final

L'éclatant

Dans une première étape, il s'agissait d'explorer les possibilité de différents processus d'érosion sur la glace. Le sel qui fait fondre la glasse permet un résultat intéressant, avec une surface crystalline qui interagit avec la lumière. L'analogie de la pluie permet quant à elle d'obtenir un objet très organique, alors que la glace est érodée par l'eau. Mais c'est le procédé plus radical de la force d'impact que nous avons exploré d'avantage, alors que les éclats aléatoires obtenus inspirent davantage des espaces habitables.

Le sel                                                                  La pluie chaude                                                   L'impact

Éclater

Révéler

Le colorant qui s'infiltre dans les interstices de la galce permet de mettre en valeur la transformation. Cela permet d'apprécier la profondeur des éclats, de souligner les creux et de créer des jeux d'ombre intéressants.

               L'échelle urbaine                                                   L'échelle du bâti                                                     L'échelle du détail

L'échelle urbaine

Dans cette prmière maquette qui représente l'écelle urbaine du projet, la colle chaude crée une amrmature dans le bloc de glace, le rendant par le fait même plus résistant aux impacts. Les fils de colles chaudes lient les blcs de glace, ce qui nous laisse imaginer une organisation de batiments voisins donnant sur une cour intérieure partagée. En imaginant un projet habitable, ces lients deviennet de la végétation qui abonde dans le projet et qui permet des espaces agréables et habitables, protégés des intempéries, mais généreusement ensoleillés.

L'échelle du bâti

Cette deuxième maquette, composée simplement d'eau et de colorants gelés, illustre l'échelle du bâti. On imagine les flux de réseaux qui se propagent à travers le bâti, offrant une densité plus forte par endroits. Ces flux peuvent correspondre à des points d'intensité dans le bâtiment, au réseau de mécanique, ou même à l'arborescence de la végétation dans le projet.

L'échelle du détail

Le principe de l'entre deux permet de nous imaginer ces fissures comme étant des espaces interesticiels dans le bâtiment, des lieux d'intensité et d'échanges. On imagine donc ces failles comme des terrasses accessibles pour les résidants, où la lumière y est abondante, mais où on est protégé du vent et qu'on acquiert une certaine intimité.

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